Lectures destinée à l'édification des Chrétiens (semaine 1)

 

 

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Lundi:

 

Jean 20:1-10

Tôt le dimanche matin, alors qu’il faisait encore nuit, Marie de Magdala se rendit au tombeau. Elle vit que la pierre avait été ôtée de l’entrée du tombeau. Elle courut alors trouver Simon Pierre et l’autre disciple, celui qu’aimait Jésus, et leur dit: On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a mis. Pierre et l’autre disciple partirent et se rendirent au tombeau. Ils couraient tous les deux; mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. Il se baissa pour regarder et vit les bandes de lin posées à terre, mais il n’entra pas. Simon Pierre, qui le suivait, arriva à son tour et entra dans le tombeau. Il vit les bandes de lin posées à terre et aussi le linge qui avait recouvert la tête de Jésus; ce linge n’était pas avec les bandes de lin, mais il était enroulé à part, à une autre place. Alors, l’autre disciple, celui qui était arrivé le premier au tombeau, entra aussi. Il vit et il crut. En effet, jusqu’à ce moment les disciples n’avaient pas compris l’Écriture qui annonce que Jésus devait se relever d’entre les morts. Puis les deux disciples s’en retournèrent chez eux.

 

Luc 24:1-12

Très tôt le dimanche matin, les femmes se rendirent au tombeau, en apportant les huiles parfumées qu’elles avaient préparées. Elles découvrirent que la pierre fermant l’entrée du tombeau avait été roulée de côté; elles entrèrent, mais ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. Elles ne savaient qu’en penser, lorsque deux hommes aux vêtements brillants leur apparurent. Comme elles étaient saisies de crainte et tenaient leur visage baissé vers la terre, ces hommes leur dirent: Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant? Il n’est pas ici, mais il est revenu de la mort à la vie. Rappelez-vous ce qu’il vous a dit lorsqu’il était encore en Galilée: Il faut que le Fils de l’homme soit livré à des pécheurs, qu’il soit cloué sur une croix et qu’il se relève de la mort le troisième jour. Elles se rappelèrent alors les paroles de Jésus. Elles quittèrent le tombeau et allèrent raconter tout cela aux onze et à tous les autres disciples. C’étaient Marie de Magdala, Jeanne et Marie, mère de Jacques. Les autres femmes qui étaient avec elles firent le même récit aux apôtres. Mais ceux-ci pensèrent que ce qu’elles racontaient était absurde et ils ne les crurent pas. Cependant Pierre se leva et courut au tombeau; il se baissa et ne vit que les bandes de lin. Puis il retourna chez lui, très étonné de ce qui s’était passé.

 

Marc 16:1-11

Quand le jour du sabbat fut passé, Marie de Magdala, Marie mère de Jacques, et Salomé achetèrent des huiles parfumées pour aller embaumer le corps de Jésus. Très tôt le dimanche matin, au lever du soleil, elles se rendirent au tombeau. Elles se disaient l’une à l’autre: Qui va rouler pour nous la pierre qui ferme l’entrée du tombeau? Mais quand elles regardèrent, elles virent que la pierre, qui était très grande, avait déjà été roulée de côté. Elles entrèrent alors dans le tombeau; elles virent là un jeune homme, assis à droite, qui portait une robe blanche, et elles furent effrayées. Mais il leur dit: Ne soyez pas effrayées; vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qu’on a cloué sur la croix; il est revenu de la mort à la vie, il n’est pas ici. Regardez, voici l’endroit où on l’avait déposé. Allez maintenant dire ceci à ses disciples, y compris à Pierre: Il va vous attendre en Galilée; c’est là que vous le verrez, comme il vous l’a dit. Elles sortirent alors et s’enfuirent loin du tombeau, car elles étaient toutes tremblantes de crainte. Et elles ne dirent rien à personne, parce qu’elles avaient peur. Après que Jésus eut passé de la mort à la vie tôt le dimanche matin, il se montra tout d’abord à Marie de Magdala, de laquelle il avait chassé sept esprits mauvais. Elle alla le raconter à ceux qui avaient été avec lui. Ils étaient tristes et pleuraient. Mais quand ils entendirent qu’elle disait: Jésus est vivant, je l’ai vu!, ils ne la crurent pas.

 

Matthieu 28:1-10

Après le sabbat, dimanche au lever du jour, Marie de Magdala et l’autre Marie vinrent voir le tombeau. Soudain, il y eut un fort tremblement de terre; un ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la grosse pierre et s’assit dessus. Il avait l’aspect d’un éclair et ses vêtements étaient blancs comme la neige. Les gardes en eurent une telle peur qu’ils se mirent à trembler et devinrent comme morts. L’ange prit la parole et dit aux femmes: N’ayez pas peur. Je sais que vous cherchez Jésus, celui qu’on a cloué sur la croix; il n’est pas ici, il est revenu de la mort à la vie comme il l’avait dit. Venez, voyez l’endroit où il était couché. Allez vite dire à ses disciples: Il est revenu d’entre les morts et il va maintenant vous attendre en Galilée; c’est là que vous le verrez. Voilà ce que j’avais à vous dire. Elles quittèrent rapidement le tombeau, remplies tout à la fois de crainte et d’une grande joie, et coururent porter la nouvelle aux disciples de Jésus. Tout à coup, Jésus vint à leur rencontre et dit: Je vous salue! Elles s’approchèrent de lui, saisirent ses pieds et l’adorèrent. Jésus leur dit alors: N’ayez pas peur. Allez dire à mes frères de se rendre en Galilée: c’est là qu’ils me verront.






Mardi:

 

Matthieu 1:18 jusqu'à 2:23

Voici dans quelles circonstances Jésus-Christ est né. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph; mais avant qu’ils aient vécu ensemble, elle se trouva enceinte par l’action du Saint-Esprit. Joseph, son fiancé, était un homme droit et ne voulait pas la dénoncer publiquement; il décida de rompre secrètement ses fiançailles. Comme il y pensait, un ange du Seigneur lui apparut dans un rêve et lui dit: Joseph, descendant de David, ne crains pas d’épouser Marie, car c’est par l’action du Saint-Esprit qu’elle attend un enfant. Elle mettra au monde un fils, que tu appelleras Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. Tout cela arriva afin que se réalise ce que le Seigneur avait dit par le prophète: La vierge sera enceinte et mettra au monde un fils, qu’on appellera Emmanuel. Quand Joseph se réveilla, il agit comme l’ange du Seigneur le lui avait ordonné et prit Marie comme épouse. Mais il n’eut pas de relations avec elle jusqu’à ce qu’elle ait mis au monde son fils, que Joseph appela Jésus.

Jésus naquit à Bethléem, en Judée, à l’époque où Hérode était roi. Après sa naissance, des savants, spécialistes des étoiles, vinrent d’Orient. Ils arrivèrent à Jérusalem et demandèrent: Où est l’enfant qui vient de naître, le roi des Juifs? Nous avons vu son étoile apparaître en Orient et nous sommes venus l’adorer. Quand le roi Hérode apprit cette nouvelle, il fut troublé, ainsi que toute la population de Jérusalem. Il convoqua tous les chefs des prêtres et les maîtres de la loi, et leur demanda où le Messie devait naître. Ils lui répondirent: A Bethléem, en Judée. Car voici ce que le prophète a écrit: Et toi, Bethléem, au pays de Juda, tu n’es certainement pas la moins importante des localités de Juda; car c’est de toi que viendra un chef qui conduira mon peuple, Israël. Alors Hérode convoqua secrètement les savants et s’informa auprès d’eux du moment précis où l’étoile était apparue. Puis il les envoya à Bethléem, en leur disant: Allez chercher des renseignements précis sur l’enfant; et quand vous l’aurez trouvé, faites-le-moi savoir, afin que j’aille, moi aussi, l’adorer. Après avoir reçu ces instructions du roi, ils partirent. Ils virent alors l’étoile qu’ils avaient déjà remarquée en Orient: elle allait devant eux, et quand elle arriva au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant, elle s’arrêta. Ils furent remplis d’une très grande joie en la voyant là. Ils entrèrent dans la maison et virent l’enfant avec sa mère, Marie. Ils se mirent à genoux pour adorer l’enfant; puis ils ouvrirent leurs bagages et lui offrirent des cadeaux: de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Ensuite, Dieu les avertit dans un rêve de ne pas retourner auprès d’Hérode; ils prirent alors un autre chemin pour rentrer dans leur pays. Quand les savants furent partis, un ange du Seigneur apparut à Joseph dans un rêve et lui dit: Debout, prends avec toi l’enfant et sa mère et fuis en Égypte; restes-y jusqu’à ce que je te dise de revenir. Car Hérode va rechercher l’enfant pour le faire mourir. Joseph se leva donc, prit avec lui l’enfant et sa mère, en pleine nuit, et se réfugia en Égypte. Il y resta jusqu’à la mort d’Hérode. Cela arriva afin que se réalise ce que le Seigneur avait dit par le prophète: J’ai appelé mon fils à sortir d’Égypte. Quand Hérode se rendit compte que les savants l’avaient trompé, il entra dans une grande colère. Il donna l’ordre de tuer, à Bethléem et dans les environs, tous les garçons de moins de deux ans; cette limite d’âge correspondait aux indications que les savants lui avaient données. Alors se réalisa ce qu’avait déclaré le prophète Jérémie: On a entendu une plainte à Rama, des pleurs et de grandes lamentations. C’est Rachel qui pleure ses enfants, elle ne veut pas être consolée, car ils sont morts. Après la mort d’Hérode, un ange du Seigneur apparut dans un rêve à Joseph, en Égypte. Il lui dit: Debout, prends avec toi l’enfant et sa mère et retourne au pays d’Israël, car ceux qui cherchaient à faire mourir l’enfant sont morts. Joseph se leva donc, prit avec lui l’enfant et sa mère et retourna au pays d’Israël. Mais il apprit qu’Archélaos avait succédé à son père Hérode comme roi de Judée; alors il eut peur de s’y rendre. Il reçut de nouvelles indications dans un rêve, et il partit pour la province de Galilée. Il alla s’établir dans une ville appelée Nazareth. Il en fut ainsi pour que se réalise cette parole des prophètes: Il sera appelé Nazaréen.

 

Luc 2:1-40

En ce temps-là, l’empereur Auguste donna l’ordre de recenser tous les habitants de l’empire romain. Ce recensement, le premier, eut lieu alors que Quirinius était gouverneur de la province de Syrie. Tout le monde allait se faire enregistrer, chacun dans sa ville d’origine. Joseph lui aussi partit de Nazareth, un bourg de Galilée, pour se rendre en Judée, à Bethléem, où est né le roi David; en effet, il était lui-même un descendant de David. Il alla s’y faire enregistrer avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte. Pendant qu’ils étaient à Bethléem, le jour de la naissance arriva. Elle mit au monde un fils, son premier-né. Elle l’enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’abri destiné aux voyageurs. Dans cette même région, il y avait des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leur troupeau. Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur les entoura de lumière. Ils eurent alors très peur. Mais l’ange leur dit: N’ayez pas peur, car je vous apporte une bonne nouvelle qui réjouira beaucoup tout le peuple: cette nuit, dans la ville de David, est né, pour vous, un Sauveur; c’est le Christ, le Seigneur. Et voici le signe qui vous le fera reconnaître: vous trouverez un petit enfant enveloppé de langes et couché dans une crèche. Tout à coup, il y eut avec l’ange une troupe nombreuse d’anges du ciel, qui louaient Dieu en disant: Gloire à Dieu dans les cieux très hauts, et paix sur la terre pour ceux qu’il aime! Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres: Allons donc jusqu’à Bethléem: il faut que nous voyions ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. Ils se dépêchèrent d’y aller et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche. Quand ils le virent, ils racontèrent ce que l’ange leur avait dit au sujet de ce petit enfant. Tous ceux qui entendirent les bergers furent étonnés de ce qu’ils leur disaient. Quant à Marie, elle gardait tout cela dans sa mémoire et y réfléchissait profondément. Puis les bergers prirent le chemin du retour. Ils célébraient la grandeur de Dieu et le louaient pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, car tout s’était passé comme l’ange le leur avait annoncé. Le huitième jour après la naissance, le moment vint de circoncire l’enfant; on lui donna le nom de Jésus, nom que l’ange avait indiqué avant que sa mère devienne enceinte. Puis le moment vint pour Joseph et Marie d’accomplir la cérémonie de purification qu’ordonne la loi de Moïse. Ils amenèrent alors l’enfant au temple de Jérusalem pour le présenter au Seigneur, car il est écrit dans la loi du Seigneur: Tout garçon premier-né sera mis à part pour le Seigneur. Ils devaient offrir aussi le sacrifice que demande la même loi, une paire de tourterelles ou deux jeunes pigeons. Il y avait alors à Jérusalem un certain Siméon. Cet homme était droit; il respectait Dieu et attendait celui qui devait sauver Israël. Le Saint-Esprit était avec lui et lui avait appris qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Messie envoyé par le Seigneur. Guidé par l’Esprit, Siméon alla dans le temple. Quand les parents de Jésus amenèrent leur petit enfant afin d’accomplir pour lui ce que demandait la loi, Siméon le prit dans ses bras et remercia Dieu en disant: Maintenant, Seigneur, tu as réalisé ta promesse: tu peux laisser ton serviteur mourir en paix. Car j’ai vu de mes propres yeux ton salut, ce salut que tu as préparé devant tous les peuples: c’est la lumière qui te fera connaître aux nations du monde et qui sera la gloire d’Israël, ton peuple. Le père et la mère de Jésus étaient tout étonnés de ce que Siméon disait de lui. Siméon les bénit et dit à Marie, la mère de Jésus: Dieu a destiné cet enfant à causer la chute ou le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de Dieu auquel les gens s’opposeront, et il mettra ainsi en pleine lumière les pensées cachées dans le coeur de beaucoup. Quant à toi, Marie, la douleur te transpercera l’âme comme une épée. Il y avait aussi une prophétesse, appelée Anne, qui était la fille de Penouel, de la tribu d’Asser. Elle était très âgée. Elle avait vécu sept ans avec le mari qu’elle avait épousé dans sa jeunesse, puis, demeurée veuve, elle était parvenue à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne quittait pas le temple, mais elle servait Dieu jour et nuit: elle jeûnait et elle priait. Elle arriva à ce même moment et se mit à remercier Dieu. Et elle parla de l’enfant à tous ceux qui attendaient que Dieu délivre Jérusalem. Quand les parents de Jésus eurent achevé de faire tout ce que demandait la loi du Seigneur, ils retournèrent avec lui en Galilée, dans leur ville de Nazareth. L’enfant grandissait et se fortifiait. Il était rempli de sagesse et la faveur de Dieu reposait sur lui.






Mercredi:

 

Deutéronome chapitre 20

Quand vous partirez en guerre contre vos ennemis, si vous voyez de la cavalerie, des chars de combat et une armée plus nombreuse que la vôtre, n’ayez pas peur. En effet, le Seigneur votre Dieu, qui vous a fait sortir d’Égypte, est avec vous. Au moment où vous vous préparerez à combattre, le prêtre s’avancera devant l’armée et dira aux hommes: Soldats d’Israël, écoutez! Aujourd’hui, vous êtes sur le point de combattre vos ennemis. Face à eux, ne perdez pas courage, n’ayez pas peur, ne vous affolez pas, ne tremblez pas. Le Seigneur votre Dieu vous accompagne pour combattre avec vous contre vos ennemis et vous donner la victoire. Ensuite les officiers recruteurs diront aux soldats: Y a-t-il parmi vous quelqu’un qui vient de construire une maison et n’a pas encore pu y habiter? Qu’il retourne chez lui. Sinon il pourrait mourir à la guerre et un autre irait habiter sa maison. Y a-t-il quelqu’un qui vient de planter une vigne et n’a pas encore pu en cueillir les premiers raisins? Qu’il retourne chez lui. Sinon il pourrait mourir à la guerre, et un autre cueillerait ses raisins. Y a-t-il quelqu’un qui vient de se fiancer et n’a pas encore pu se marier? Qu’il retourne chez lui. Sinon il pourrait mourir à la guerre, et un autre épouserait sa fiancée. Les officiers recruteurs ajouteront ceci: Y a-t-il parmi vous quelqu’un qui a perdu courage et a peur? Qu’il retourne chez lui, afin de ne pas démoraliser les autres. Quand ces officiers auront fini de parler, on désignera les chefs d’unité pour commander l’armée. Quand vous irez attaquer une ville, vous proposerez d’abord aux habitants de se rendre sans combat. S’ils acceptent et ouvrent les portes de la ville, ils seront tous soumis à des travaux obligatoires à votre service. Mais s’ils n’acceptent pas et préfèrent se battre, vous assiégerez la ville. Quand le Seigneur votre Dieu la livrera en votre pouvoir, vous y tuerez tous les hommes; vous pourrez garder comme butin les femmes, les enfants, le bétail et tout ce que vous trouverez dans la ville. Vous disposerez librement des biens de vos ennemis, puisque le Seigneur votre Dieu vous les aura donnés. Vous agirez ainsi envers les villes très éloignées, qui n’appartiennent pas au pays où vous vous installerez. Quant aux villes du pays que le Seigneur votre Dieu vous donnera en possession, vous n’y laisserez personne en vie. Vous exterminerez totalement les Hittites, Amorites, Cananéens, Perizites, Hivites et Jébusites, comme vous l’a ordonné le Seigneur votre Dieu, afin qu’ils ne vous enseignent pas à imiter les actions abominables qu’ils commettent pour plaire à leurs dieux. Cela vous conduirait à pécher contre le Seigneur votre Dieu. Lorsque vous attaquerez une ville et que vous l’assiégerez longtemps avant de pouvoir la prendre, vous ne détruirez pas les arbres fruitiers des environs. Vous pourrez en manger les fruits, mais vous ne couperez pas les arbres. Un arbre dans la campagne n’est pas un homme contre lequel on part en guerre! Par contre vous pouvez couper les arbres qui ne portent pas de fruits comestibles, et les utiliser pour le siège de la ville qui est en guerre contre vous, jusqu’à ce qu’elle se rende.






Jeudi:

 

Deutéronome 17:2-7

Un jour peut-être, dans l’une des villes où le Seigneur votre Dieu vous aura permis d’habiter, un homme ou une femme fera ce qui déplaît au Seigneur et sera infidèle aux engagements pris envers Dieu:  il ira servir et adorer des dieux étrangers, ou même le soleil, la lune et la multitude des astres. Jamais le Seigneur ne vous a ordonné d’agir ainsi! Si vous entendez parler d’un cas de ce genre, vous mènerez une enquête minutieuse; si l’on découvre que cette chose abominable s’est réellement produite en Israël, vous conduirez le coupable, homme ou femme, à la porte de la ville et vous le mettrez à mort en lui jetant des pierres. Un accusé ne pourra être condamné à mort que sur le témoignage de deux ou trois personnes; le témoignage d’une seule personne ne suffira pas. Les témoins seront les premiers à lui jeter des pierres pour le faire mourir, et le reste du peuple interviendra ensuite. Vous ferez ainsi disparaître le mal du milieu de vous.






Vendredi:

 

Nombres 31

Le Seigneur donna cet ordre à Moïse: Va punir les Madianites pour le mal qu’ils ont fait aux Israélites. C’est après cela que tu quitteras ce monde. Alors Moïse dit au peuple: Il faut que certains d’entre vous prennent leurs armes et aillent attaquer les Madianites, afin de leur infliger la punition décidée par le Seigneur. Désignez à cet effet mille combattants dans chaque tribu. On choisit dans les troupes d’Israël mille hommes par tribu, soit un total de douze mille soldats. Moïse les envoya tous au combat, accompagnés du prêtre Pinhas, fils d’Élazar. Celui-ci emportait les objets sacrés, ainsi que les trompettes pour donner le signal du cri de guerre. Ils attaquèrent le pays de Madian, comme le Seigneur en avait donné l’ordre par l’intermédiaire de Moïse, et y massacrèrent tous les hommes. Ils tuèrent aussi les cinq rois de Madian: Évi, Réquem, Sour, Hour et Réba, de même que Balaam, fils de Béor. Ils firent prisonniers les femmes et les enfants des Madianites, et s’approprièrent leurs bêtes de somme, leurs troupeaux et tous leurs biens. Ils incendièrent leurs villes et leurs campements, puis s’en allèrent avec le butin, les gens et les bêtes dont ils s’étaient emparés. Ils amenèrent le tout au camp situé dans les plaines de Moab, près du Jourdain et en face de Jéricho, pour le présenter à Moïse, au prêtre Élazar et à toute la communauté d’Israël. Moïse, Élazar et les autres chefs de la communauté sortirent du camp pour les accueillir. Moïse se mit en colère contre les commandants de régiments et de compagnies qui revenaient de cette campagne. Il leur dit: Quoi! vous avez laissé la vie aux femmes! Vous le savez bien, pourtant, ce sont des femmes madianites qui, sur les conseils de Balaam, ont poussé les Israélites à commettre des fautes graves envers le Seigneur, lors de l’affaire de Péor; et à la suite de cela un fléau s’est abattu sur le peuple du Seigneur. Eh bien maintenant, tuez tous les garçons, de même que toutes les femmes qui ont été mariées. Mais vous pouvez garder pour vous toutes les filles encore vierges. Tous ceux d’entre vous qui ont tué quelqu’un ou touché un cadavre doivent demeurer sept jours hors du camp; ils devront se purifier le troisième et le septième jour. Cet ordre concerne aussi vos prisonnières. Vous purifierez également les vêtements, et tous les objets en peau, en poil de chèvre ou en bois. Puis le prêtre Élazar dit aux hommes qui avaient participé au combat: Voici les règles que le Seigneur a communiquées à Moïse: Les objets en or, en argent, en cuivre, en fer, en étain ou en plomb, c’est-à-dire les objets qui ne brûlent pas, vous les purifierez par le feu, puis vous les tremperez dans l’eau de purification. Ce qui brûle, vous vous contenterez de le tremper dans l’eau de purification. Après avoir lavé vos vêtements le septième jour, vous serez purs et vous pourrez regagner le camp. Le Seigneur dit à Moïse: Élazar et toi, avec l’aide des chefs de famille de la communauté, vous allez faire le compte de tout ce qui a été capturé, gens et bêtes. Tu en feras ensuite deux parts égales, l’une pour ceux qui ont été mobilisés et ont pris part au combat, l’autre pour le reste de la communauté. Sur la part attribuée aux combattants, tu retiendras pour moi une redevance qui s’élèvera à un être humain sur cinq cents, et à un animal sur cinq cents, en ce qui concerne les boeufs, les ânes, les moutons et les chèvres. Tu remettras au prêtre Élazar la redevance ainsi prélevée pour moi. Sur la part attribuée au reste des Israélites, tu retiendras un être humain sur cinquante, et un animal sur cinquante, en ce qui concerne les boeufs, les ânes, les moutons, les chèvres et les autres bêtes; et tu remettras cette redevance aux lévites, qui s’occupent de ma demeure sacrée. Moïse et Élazar exécutèrent l’ordre donné par le Seigneur à Moïse. Du butin pris à l’ennemi par les combattants, il restait 67500 moutons et chèvres, 7200 boeufs, 6100 ânes et 3200 filles encore vierges. La part attribuée aux combattants fut la suivante: 33700 moutons et chèvres, dont 675 furent prélevés pour le Seigneur; 3600 boeufs, dont 72 pour le Seigneur; 3000 ânes, dont 61 pour le Seigneur; 1600 êtres humains, dont 32 pour le Seigneur. Moïse remit au prêtre Élazar la redevance destinée au Seigneur, selon l’ordre reçu. La part attribuée au reste de la communauté d’Israël était l’équivalent de celle des combattants. Elle comprenait 33700 moutons et chèvres,  3600 boeufs, 3000 ânes et 1600 êtres humains. Sur la part attribuée aux Israélites, Moïse préleva une redevance d’un être humain sur cinquante, et d’une bête sur cinquante; et, selon l’ordre qu’il avait reçu du Seigneur, il la remit aux lévites, qui s’occupent de la demeure du Seigneur. Les chefs militaires, commandants de régiments et de compagnies, se réunirent auprès de Moïse et ils lui dirent: Nous avons fait le compte des combattants placés sous nos ordres: il n’en manque aucun. C’est pourquoi nous apportons des offrandes pour le Seigneur, afin que nos vies soient préservées; chacun de nous offre les objets d’or qu’il a trouvés: chaînettes, bracelets, anneaux, boucles d’oreille et colliers. Moïse et le prêtre Élazar acceptèrent tous les objets d’or ouvragés qu’ils apportèrent. Le poids total des objets offerts au Seigneur par les officiers fut d’environ 170 kilos. Quant aux simples soldats, chacun garda pour lui-même le butin qu’il avait ramassé. Moïse et Élazar déposèrent tous les objets d’or offerts par les officiers dans la tente de la rencontre, afin que le Seigneur n’oublie pas les Israélites.






Samedi:

 

Exode 32:25-29

Moïse se rendit compte qu’Aaron avait laissé le peuple faire ce qu’il voulait, l’exposant ainsi aux moqueries de ses adversaires. Il alla se placer à l’entrée du camp et cria: Ceux qui aiment le Seigneur, à moi! Les membres de la tribu de Lévi se rassemblèrent autour de lui. Il leur dit: Voici ce qu’ordonne le Seigneur, le Dieu d’Israël: Que chacun de vous prenne son épée; passez et repassez d’un bout à l’autre du camp et tuez vos frères, vos amis, vos voisins. Les lévites obéirent à Moïse, si bien que trois mille Israélites environ moururent ce jour-là. Alors Moïse dit aux lévites: Aujourd’hui, vous avez été consacrés au service du Seigneur, puisque vous n’avez pas hésité à tuer même vos fils ou vos frères. Que le Seigneur vous accorde donc sa bénédiction en ce jour.





Dimanche:

 

Jérémie 8:8

Comment dites-vous, Nous sommes sages, et la loi de l’Eternel est avec nous? Mais voici, la plume menteuse des scribes en a fait une fausseté.






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